Tribunal- son rôle et la société

Comment le rôle des tribunaux façonne-t-il la société ?

Les tribunaux sont les lieux importants de nos vies. Ils changent notre façon de vivre et d’interagir avec les autres, mais ils sont aussi réputés pour être difficiles à comprendre. La Cour suprême est en session, et vous pouvez la regarder à la télévision tous les jours. Mais que font-ils exactement ? Comment décident-ils des affaires ?

Qu’est-ce qu’un tribunal ?

Les tribunaux sont une partie de notre gouvernement qui a pour but d’aider les gens à régler leurs différends. Ils peuvent être locaux ou nationaux. Ils peuvent être étatiques ou fédéraux. Les tribunaux sont les lieux où les gens se rendent pour résoudre des problèmes liés à la famille, aux affaires, aux blessures corporelles, aux contraventions ou à d’autres délits.

Le système judiciaire est fondé sur l’idée que chaque personne a des droits et des responsabilités en vertu de la loi. Et lorsqu’il y a un différend au sujet de ces droits, vous pouvez avoir besoin d’aller au tribunal pour obtenir un jugement qui résout le problème.

Il existe de nombreux types de tribunaux : pénal (pour les crimes), civil (pour les procès), de faillite (pour les problèmes financiers), pour mineurs (pour les jeunes) et familiale (pour les affaires familiales). Chaque type de tribunal a des règles concernant les types d’affaires qu’il peut entendre et la manière dont les affaires doivent être traitées au tribunal.

Un aperçu du fonctionnement du système judiciaire

Le système de tribunaux est censé être impartial, indépendant et distinct des autres branches du gouvernement. Ces tribunaux sont organisés en une hiérarchie, chaque tribunal de cette hiérarchie ayant une certaine compétence sur les affaires dont il est saisi.

Les tribunaux sont composés de juges et d’autres fonctionnaires judiciaires qui tranchent les litiges juridiques en interprétant les lois et en les appliquant aux preuves présentées lors des audiences. Les tribunaux peuvent également fournir d’autres services liés à la justice, comme la médiation ou l’arbitrage.

Il existe trois niveaux de tribunaux à savoir : les tribunaux de district, les tribunaux régionaux (circuit court) et les cours d’appel. Le tribunal de première instance est le niveau de juridiction le plus bas et il entend les affaires concernant des infractions mineures telles que les infractions au Code de la route ou les petits litiges entre particuliers. Dans certains pays, les appels interjetés depuis le tribunal de première instance sont entendus par une juridiction supérieure appelée circuit court ou tribunal régional (circuit court). Dans d’autres pays, les appels du tribunal de première instance vont directement à une cour d’appel (la cour d’appel).

Les cours d’appel examinent tous les aspects d’une affaire, notamment la question de savoir si les preuves présentées au procès étaient suffisantes pour justifier une condamnation et si des erreurs de procédure ont été commises au cours du procès. Elles examinent également les décisions de condamnation prises par les tribunaux de première instance et peuvent décider s’il existe des circonstances atténuantes liées à un délit qui auraient dû être prises en considération pour déterminer la durée de la peine à passer derrière les barreaux pour avoir commis un crime.

Loi Pinel : un dispositif qui met en avant les particuliers

Parmi les dispositifs de défiscalisation immobilière les plus connus des Français, on a la Loi Pinel. Celle-ci a succédé à la loi Duflot et a été mise en place en 2014. L’objectif de la loi Pinel c’est de faciliter au mieux l’accès au logement pour les ménages dont les revenus sont modestes.

Loi Pinel : un investissement qui ne pourra que vous avantager

Le dispositif Pinel a connu un franc succès auprès des investisseurs. La loi Pinel a été mise en place en septembre 2014 et de nombreux contribuables ont opté pour cet investissement locatif dans le but de faire baisser leurs impôts et de se constituer un patrimoine immobilier. Afin de savoir s’il serait intéressant pour vous d’investir dans la loi Pinel, il est recommandé de réaliser une simulation. Il est loin d’être surprenant que les Français cherchent une faille légale afin de diminuer la pression fiscale. D’après le dernier rapport de l’OCDE ou Organisation de Coopération et de Développement Économiques ainsi que le dernier sondage fait par le journal Les Echos, la France est le second pays européen qui affiche le taux des prélèvements obligatoires le plus élevé. Rappelons qu’en 2021, le taux de prélèvement obligatoire était de 47% dans le pays. La France devance des pays comme la Belgique, l’Italie, ou encore l’Allemagne.

Des conditions rattachées à l’engagement locatif

Lorsqu’il déclare son bien sous le dispositif Pinel, il est obligatoire que le propriétaire s’engage sur une période de location. Cet engagement initial peut être de 6 ou 9 ans, tandis que l’engagement final peut être de 6, 9 ou bien même 12 ans. Il va permettre de déterminer le montant de la réduction fiscale dont le propriétaire pourra bénéficier. Voici quelques précisions dont vous devez tenir compte :

  • L’engagement à louer le logement pris par les propriétaires s’avère obligatoire,
  • La location doit être effectuée dans l’année suivant la livraison du logement.

Dans le cas où ces conditions ne sont pas respectées alors l’investissement ne sera malencontreusement pas éligible au dispositif. Pour ce qui est des baux de location Pinel, sachez que ce sont les mêmes que pour les locations classiques. Quant au bail de location d’un bien soumis au dispositif Pinel, c’est tout simplement un bail classique.

Nouveau dispositif : le fameux Pinel Plus

L’ancienne ministre en charge du Logement Emmanuelle Wargon a annoncé la mise en place d’un nouveau dispositif. Il s’agit sans plus ni moins de : Pinel Plus ou Pinel+. Celui-ci sera effectif à partir de cette année 2023 en reprenant dans les grandes lignes le même fonctionnement que le dispositif Pinel classique. Toutefois, Pinel Plus dispose de ses propres règles en matière de défiscalisation immobilière sur certains sujets. Précisons que ce dispositif va venir en complément au dispositif Pinel qui existe déjà, pour les années 2023 et 2024. Il va permettre aux investisseurs de percevoir l’avantage fiscal à taux plein. Pour cela, il est obligatoire que les investisseurs répondent à plusieurs nouvelles conditions.

Les nouvelles conditions pour le dispositif Pinel Plus

Parmi les nouvelles conditions, il faut connaître le barème de surface minimum à respecter d’après une typologie de logements. Et ce, dans le but de garantir une surface minimale. Il faut savoir que le Pinel Plus ne peut être utilisé qu’en vue de la construction de logements neufs ou en VEFA. Ces logements devront, par ailleurs, respecter les conditions de performances énergétiques rehaussée par rapport au dispositif Pinel classique. Ajoutons que les appartements doivent bénéficier d’une double exposition au soleil à partir du T3 ainsi que d’un extérieur privé disposant d’une surface minimum.

Principe des sanctions administratives communales

Les sanctions administratives communales peuvent changer selon la mairie dans laquelle vous vous trouvez. Vous devrez répondre de vos actes de manière légale avant que la situation ne s’aggrave. L’intervention d’un avocat peut s’avérer essentielle à un certain moment. Prenez note des points essentiels concernant ces sanctions pour faciliter les prises de décisions.

L’importance des SAC (sanctions administratives communales)

Les SAC ont été avant tout appliqués depuis 2013 depuis la loi du 24 juin. Le texte autorise alors la mairie à vous infliger des sanctions administratives dans certains cas. Les peines concernent les actes d’incivilité, mais aussi certaines infractions pénales. Ces dernières ne doivent pas faire l’objet de poursuites judiciaires.

L’objectif des condamnations est d’éviter le sentiment d’impunité de la part des auteurs. La population doit aussi se sentir en sécurité à tout moment. Les corrections reposent sur des règlements ou des ordonnances communales. Cela implique la mise en place automatique d’une zone de police auprès de la mairie. Le niveau d’une sanction dépend en tout cas de la gravité de la situation.

Les faits passibles de SAC

Les SAC sont particulièrement conçus pour les incivilités qui peuvent nuire au principe du « vivre ensemble ». La commune peut par exemple sanctionner les différents cas suivants :

  • Laisser les déjections canines dans les rues
  • Uriner ou jeter des papiers sur la voie publique
  • Déposer des déchets dans les endroits inadaptés à cela

Il y a aussi les infractions mixtes qui sont généralement évoquées par le Code pénal. Les sanctions peuvent s’appliquer au cas où le Parquet refuse une poursuite pénale. Vous pouvez toujours demander l’accompagnement d’un avocat en droit administratif si vous vous retrouvez dans ce genre de situation. Le vol simple et le tapage nocturne peuvent être considérés comme des infractions mixtes.

Les personnes pouvant faire l’objet de SAC

Toute personne majeure peut écoper de sanctions administratives communales. Une amende peut parfaitement accompagner les condamnations. Les mineurs peuvent aussi faire l’objet de ce type de punition à partir de 14 ans. Il suffit de prouver que les faits constituent des infractions liées aux règles communales. Le Code pénal peut être évoqué dans certaines situations.

Il ne faut pas oublier les personnes morales qui peuvent causer des nuisances dans la localité. Cela concerne par exemple les tapages nocturnes ainsi que les problèmes concernant les terrasses. Les responsables de la commune prendront des décisions en fonction de la situation. Les sanctions ne se limitent pas aux amendes.

Le point sur la constatation des infractions

La constatation des infractions communales n’est pas offerte à tout le monde. Cela revient principalement aux fonctionnaires et aux agents de police. Ces catégories de personnes possèdent les compétences absolues en termes de SAC. Les agents des sociétés de transport en commun peuvent aussi avoir leurs mots à dire dans le domaine.

Le conseil communal peut de son côté désigner d’autres personnes si la situation l’oblige. Les entreprises de gardiennage peuvent par exemple obtenir le privilège de constater des infractions. Une simple faute peut aussi finir par se régler devant un tribunal selon l’évolution de la situation. Le mieux est de vous plier aux règlements en cas de constatation de désobéissances de votre part.

Les informations à connaître avant de partir en croisière Europe

Pour visiter l’Europe autrement, partir en croisière se révèle être une très bonne idée. Ce genre de voyage vous permet de vivre des vacances inoubliables. Pour que votre voyage puisse se faire en toute sérénité, il est sage de prendre connaissance des diverses informations avant de partir en croisière. Voici tout ce dont vous devez savoir à ce propos.

Les documents à prendre avec soi à bord

Avant de partir en croisière Europe, il est d’une nécessité de prendre connaissance des documents qui sont à prendre avec soi. Pendant le voyage, vous devez vous munir :

  • De votre passeport qui est votre pièce d’identité. Ce document doit être valide jusqu’au retour. L’idéal est de faire de nombreuses copies de votre passeport.
  • D’un visa
  • Des documents qui indiquent vos vaccins

En principe, les papiers vous concernant sont vérifiés par les fonctionnaires des douanes et les services de l’immigration à bord du navire. Il ne faut donc jamais mettre son passeport dans les bagages enregistrés.

La réalisation de certains vaccins

Comme cité plus haut, la carte de vos vaccins fait partie des documents à rassembler avant de partir en croisière Europe. Bien évidemment, la réalisation de certains vaccins reste une nécessité pour préserver votre santé.

En fonction du pays de destination, certains vaccins sont recommandés tandis que d’autres sont obligatoires. Il est donc vivement conseillé de prendre rendez-vous avec votre médecin pour connaître ce que vous voulez réaliser.

À savoir que le port de médicaments adéquats reste nécessaire pour les personnes sous traitement. La quantité de ceux-ci doit en effet correspondre à la durée du voyage.

Les objets interdits à bord des bateaux de croisière

À bord des bateaux de croisières, des objets sont interdits. Ceux-ci concernent en effet toutes les armes à feu, les répliques ainsi que les imitations d’armes à feu. Aussi, les explosifs ne peuvent pas être portés en croisière. Il en est de même pour les imitations et les engins explosifs tels que les pétards, les feux d’artifice, les fusées éclairantes ainsi que les systèmes pyrotechniques.

Les armes tranchantes et pointues ne peuvent pas non plus être portées à bord des bateaux de croisière. Cela concerne en effet toutes sortes de couteaux et les poignards. Il en est également de même pour les lances ou fusils  à harpons y compris ceux à arbalètes et à sarbacanes.

Pour assurer la sécurité des personnes à bord du bateau de croisière, les substances inflammables et les produits chimiques ne peuvent pas être emportés.

Outre cela, les outils électriques et les appareils électroménagers sont également interdits lors d’une croisière Europe. C’est également le cas des appareils bénéficiant d’un dispositif de chauffage.

Le port volontaire de ces objets lors d’une croisière Europe peut conduire à une peine et une amende. Pour éviter les mauvaises surprises, il est nécessaire de lire les informations mises en place par votre compagnie avant le jour de votre départ. De cette manière, vous avez l’assurance de partir en toute sérénité.

Réserver la croisière Europe au bon moment

Pour profiter de votre croisière Europe, il est d’une grande nécessité de réserver votre billet au bon moment. Cela vous permet bien évidemment d’économiser considérablement.  L’idéal est donc d’acquérir à l’avance vos billets. C’est un meilleur moyen pour mieux vous préparer.

Il est conseillé de faire une comparaison de prix pour partir en croisière au bon tarif. N’hésitez pas à vérifier les témoignages des anciens passagers pour prendre connaissance de la qualité de la compagnie de croisière de votre choix. Pour ne pas vous tromper dans votre choix, il est conseillé d’opter pour un agent de voyages. Ceci reste en mesure de vous conseiller sur l’opérateur fiable à choisir.

L’importance légale d’avoir une assurance santé

Il est important de disposer d’une assurance santé pour couvrir les coûts médicaux et hospitaliers qui peuvent être très élevés. En effet, sans assurance, vous pourriez être confronté à des frais médicaux qui peuvent mettre votre sécurité financière en danger. Cela va ainsi avoir un aspect légal avec lequel il est important de se familiariser au mieux pour éviter les soucis.

Les cas où une assurance santé est obligatoire

Dans certains pays, l’assurance santé est de nature obligatoire et peut ainsi être exigée par la loi. Par exemple, aux États-Unis, la loi Affordable Care Act (ACA) oblige tous les citoyens et résidents légaux à avoir une assurance santé. Quand ce n’est pas le cas, ceux-ci sont sujets à payer une pénalité. Dans d’autres pays, l’assurance santé est facultative, mais il est fortement recommandé d’en avoir une pour couvrir les coûts médicaux imprévus.

C’est surtout un important filet de sauvetage financier quand vous avez des situations non planifiées. Ensuite, dépendamment des pays où vous vous trouvez, les traitements médicaux peuvent avoir un coût conséquent. Avoir une assurance santé basique vous permet d’avoir une bonne protection contre les soucis imprévus comme :

  • Les frais de séjours d’hôpitaux
  • Les accidents nécessitant des opérations
  • Les traitements de maladies comme les cancers

L’essentiel est de bien se décider pour les points cruciaux de votre assurance santé, afin qu’elle concorde bien avec les nécessités que vous avez.

La couverture ne sera pas complète

Avant de souscrire à une assurance santé spécifique, il faut prendre conscience que celle-ci ne couvre pas tous les coûts médicaux. Cela peut être le cas dans des situations simples comme les consultations chez le médecin, ou bien le rendez-vous chez le dentiste. Par contre, si les dépenses dépassent un certain seuil, la compagnie d’assurance peut ne couvrir qu’une partie de celles-ci.

Cela va être expliqué et décrit dans votre contrat comme étant un plafond de ce que l’assurance peut couvrir. Comme certaines conditions ou procédures peuvent ne pas être entièrement couvertes par votre assurance, une partie des frais vous sera attribuée. Ne manquez donc pas de lire attentivement votre police d’assurance et de comprendre ce qui est couvert et ce qui ne l’est pas.

La question des déplacements entre pays

Lorsque vous faites des voyages à l’étranger, les différents pays accordent une grande importance à la question de la santé. Ainsi, il vous sera demandé de faire des vaccins spécifiques, mais aussi que vous vous munissiez d’une bonne assurance santé. Celle-ci sera un bon moyen d’éviter la faillite financière si vous tombez malades ou que vous avez un accident.

Ce serait un problème compliqué à gérer de ne pas pouvoir couvrir vos dépenses médicales alors que vous êtes en terre étrangère. En cela, il convient de bien choisir votre assurance santé avant de vous lancer dans un voyage dans un pays donné. Souvent, ce dernier va fournir des directives qui vous permettront de choisir au mieux une assurance qui soit adaptée.

L’assurance santé et les sports extrêmes

Les sports extrêmes sont une variété de sports qui impliquent différents dangers pour les pratiquants. Ainsi, ceux-ci sont plus sujets à avoir des accidents dans la pratique de tels sports plutôt que d’autres. En cela, de tels sports possèdent un bon encadrement sur le plan légal. Notamment, vous ne pourrez participer à certains de ceux-ci sans avoir une assurance santé convenable.

Pour pouvoir les pratiquer, il est généralement requis de disposer d’un permis officiel. Ensuite, toutes les compagnies d’assurance ne vont pas proposer ce genre de services. Cela fait que vous aurez à faire des recherches relativement approfondies afin de dénicher une offre qui soit intéressante sur ce plan.

Quelles sont les réglementations de la voyance en ligne en France ?

La voyance est une pratique très ancienne, mais qui continue de séduire de nombreuses personnes chaque année ? D’ailleurs, le nombre de spécialistes dans le secteur ne cesse d’augmenter. À l’ère de la numérisation, il est tout à fait possible de faire de la voyance en ligne. Contrairement à ce qu’on pourrait penser, celle-ci est soumise à certaines règles.

Tout savoir sur la législation de la voyance en France

En France, la pratique des arts divinatoires a été formellement interdite par la loi française par le passé. Elle est même qualifiée de délit par l’ancien Code pénal. Il a fallu attendre l’amendement du 1er mars 1994 pour qu’elle s’exerce librement dans l’Hexagone. Depuis cette année, les voyants peuvent librement pratiquer cet art divinatoire, grâce à l’abrogation de l’article R34-7 du Code.

Par contre, les personnes qui souhaitent se lancer dans la voyance doivent respecter certaines conditions. Bien qu’elle ne soit pas spécifiquement réglementée en France, elle est toutefois considérée comme une activité génératrice de revenus. Ainsi, vous devez déclarer votre activité en tant que voyant. Vous avez le choix entre le statut juridique d’auto-entrepreneur, l’entreprise individuelle en nom propre, l’EURL ainsi que la SASU si vous avez un cabinet de grande ampleur. En principe, la déclaration se fait auprès de l’URSSAF ou au niveau de la chambre de commerce. Il est à noter que ces règles s’appliquent dans le cadre de la voyance en ligne.

Les mentions obligatoires et la réglementation sur le site de voyance

De nos jours, les réseaux des arts divinatoires ne cessent d’augmenter. De plus en plus de voyants recourent en effet à cette technique de par la praticité et la simplicité de la consultation à distance. Mais avant de choisir cette option, il convient de savoir que l’exercice de la voyance en ligne a une mauvaise réputation de par l’existence des escrocs. Pour sortir du lot, il est conseillé d’améliorer les obligations qui vous seront imposées.

De prime abord, inscrivez-vous auprès de l’INAD ou l’Institut national des arts divinatoires. Cela vous permet de soigner l’image de votre cabinet de voyance en France. Pour cause, les arnaqueurs n’ont aucune place dans cet organisme. Il faut exercer un métier bien réglementé pour pouvoir intégrer l’INAD. Ensuite, vous devez signer la charte de la déontologie comme le fait de ne pas se lancer dans des activités occultes.

Il est conseillé également de souscrire à une assurance avant d’exercer la voyance en ligne. Cela vous permet d’éviter des soucis en cas de problèmes avec vos clients. En ce qui concerne le site, n’oubliez pas d’y ajouter des mentions légales pour attirer plus de clients :

  • Votre nom et celle de votre entreprise ;
  • Votre adresse électronique ;
  • Votre numéro RCS ;
  • L’hébergement de votre site ;

Autres éléments à considérer pour réussir sa voyance en ligne

Pour éviter toutes mauvaises surprises, il faut que votre site gagne la confiance. Il doit être fiable. Pour cela, vous devez soigner l’apparence de votre site. C’est ainsi qu’il est judicieux de respecter la réglementation concernant l’affichage des cookies. Ces dernières permettent d’analyser votre audience. Il existe aussi des informations facultatives, mais qui sont très importantes pour la visibilité et l’efficacité de votre site de voyance en France comme la mise en place du formulaire de contact sur lequel les internautes peuvent vous envoyer des courriels.

Toutefois, il est déconseillé d’afficheur votre adresse électronique sur le site pour éviter de recevoir des spams. Pour améliorer votre site de voyance, il convient également d’y afficher clairement le tarif de chaque séance. C’est un gage de fiabilité pour les clients. Pour être sincère, précisez s’il y a des frais supplémentaires pour éviter de surprendre la clientèle.

Les sanctions en cas de non-respect des règles en vigueur par les intermédiaires pour investir dans le vin

Depuis plusieurs années, de plus en plus d’investisseurs s’intéressent au vin. En effet, c’est un moyen très efficace de faire fructifier son capital. Cet investissement peut d’ailleurs se faire via un intermédiaire en ligne. En effet, il existe de nombreuses plateformes qui vous permettent de placer votre capital dans le vin. Grâce à notre guide, vous allez découvrir quelles sont les normes que ces intermédiaires doivent respecter pour vous permettre d’investir dans le vin et les sanctions en cas de non-respect de ces règles.

Investir dans le vin : les sanctions appliquées aux intermédiaires qui ne respectent pas les règles

Les particuliers qui désirent placer leur capital dans le vin pour en tirer des bénéfices peuvent passer par une plateforme en ligne. Cette plateforme est soumise à des normes qui ont été mises en place par l’Autorité des Marché financiers et du Code monétaire et financier depuis 2017. Le non-respect de ces règlements expose ces intermédiaires à des sanctions variées. Tout dépend de la nature de l’agissement de la plateforme. Dans le cas où l’intermédiaire ne fournit pas à ses futurs clients et à ses clients un document d’information avant la signature d’un contrat de collaboration, il peut être condamné à versé des dommages et intérêts à leurs clients. Cette sanction entre également en vigueur dans le cas où l’intermédiaire ne respecte pas les dispositifs prévus dans ce document d’information. Le juge saisi ou l’AMF peut aussi décider de résilier immédiatement le contrat qui unit le client à l’intermédiaire.

Le document d’information pour investir dans le vin : les règles à respecter

Avant de pouvoir signer un contrat avec ses clients, la plateforme qui vous permet d’investir votre argent dans le vin est dans l’obligation de vous fournir un document d’information. L’élaboration de ce document doit se faire en respectant les normes qui ont été établies par le Code monétaire et financier et l’AMF. En effet, en plus de permettre à l’établissement de convaincre les clients à recourir à leurs services pour cet investissement. Ce document permet aux détenteurs de capital de se renseigner sur le placement. Pour répondre aux exigences de l’AMF et du Code monétaire et financier, ce document doit :

  • Présenter un contenu non trompeur, clair, bien étoffé et précis. De cette manière, les potentiels clients pourront disposer du maximum d’informations sur leur prochain investissement. Ce qui leur permettra par la suite de prendre la décision de placer ou non leur argent dans le plan proposé.
  • Être reconnaissable comme étant un document promotionnel sur l’investissement dans le vin.
  • Présenter de manière claire et concise aux clients et leur permettre ainsi de comprendre les risques relatifs à placer son argent dans le vin.

Ce n’est qu’après avoir étudié en détail ce document que l’AMF décidera de donner ou non son agrément à un intermédiaire en ligne.  En effet, l’étude de l’AMF consiste à s’assurer que la plateforme respecte bien les règles en vigueur dans le domaine.

Les règles à respecter par un groupement foncier pour vous permettre d’investir dans le vin

En tant que particulier, vous pouvez aussi faire appel à un groupement foncier pour placer votre capital dans le vin. Effectivement, il existe des banques privées qui proposent à leurs clients ce type de placement. Comme tous les intermédiaires dans le domaine, le groupement foncier est tenu de respecter les règles établies par l’AMF et le Code monétaire et financier. Pour pouvoir vous permettre d’investir dans le vin, le gestionnaire du groupement foncier et la banque dépositaire des fonds doivent avoir obtenu l’agrément de l’AMF.

Véhicule en fourrière : est-possible de contester ?

Au moment de votre réveil matinal, vous vous êtes rendu compte que votre véhicule ne se trouve plus là où vous l’avez laissé. Il y a de fortes probabilités qu’il ait été enlevé par … la fourrière. Si vous jugez que cet enlèvement soit illégal, sachez qu’il est possible de contester afin notamment d’obtenir remboursement des frais. Mais comment cela devrait-il se faire ? Un rappel du cadré légal est nécessaire avant de vous en présenter la procédure.

Rappel du cadre légal

Selon le Code de la route, la mise en fourrière d’un véhicule peut être décidée pour différentes raisons, à commencer par le mauvais stationnement. Vous pourrez en effet vous faire enlever votre automobile s’il est :

  • En stationnement dangereux, en compromettant la visibilité des autres conducteurs ou en gênant la circulation ou en s’arrêtant sur un passage piéton ou un passage à niveau
  • En stationnement gênant, étant positionné, par exemple, sur un trottoir, une piste cyclable, une place de livraison ou un parking ou arrêt de bus ou de taxi
  • En stationnement abusif, soit sur un parking autorité, mais en dépassant la durée d’arrêt autorisé.

Votre véhicule peut aussi être enlevé par la fourrière suite à une contravention de 5e place. Cela pourra être, entre autres, la non-présentation à un contrôle technique, la conduite à plus de 50 km/h et le défaut d’assurance.

La mise en fourrière pourra aussi être décidée à l’encontre de tout véhicule accidenté soit juste après l’accident, soit après un très long stationnement sur le lieu de l’incident.

Le rôle de la police judiciaire

L’ordonnance de mise en fourrière ne pourra être formulée que par la Police Judiciaire. Après vérification que la voiture n’a pas été volée, celle-ci disposera sur elle d’un signe caractéristique de la fourrière devant l’accueillir. Elle devra aussi préciser dans le procès-verbal les motifs de la mise en fourrière, l’heure d’appel de la fourrière et le retrait provisoire du certificat d’immatriculation.

La police judiciaire devra aussi établir un résumé de l’état extérieur de l’automobile et des objets qui se trouvent à l’intérieur. Cela devra se faire devant l’officier de la fourrière et ne nécessite pas l’ouverture de la voiture. La notification de la mise en fourrière vous parviendra sous 5 jours.

La contestation en cas de mise en fourrière suite à une infraction

Si la mise en fourrière fait suite à une infraction au Code de la route, une procédure de contestation pourra aboutir si vous parvenez à prouver qu’il y ait un ou plusieurs éléments manquants dans le pavé. Les éléments dont il est question sont le classement du véhicule, l’autorité à l’origine de la prescription de mise en fourrière, la désignation de la fourrière et  la mise en demeure précisant le délai pour la récupération du véhicule. À eux s’ajoute la mention de l’autorité habilitée à accorder la mainlevée de la mise en fourrière, les frais à régler au moment de la récupération et les voies de recours au PV.

Pour obtenir gain de cause, vous ferez mieux de faire appel à un avocat en droit routier. Celui-ci adressera au procureur de la République de lieu de l’infraction une lettre recommandée lui faisant savoir qu’il y a eu irrégularité dans le protocole. Dans les 5 jours suivants, le procureur choisira, en se basant sur les informations qu’il a en main, entre la confirmation de sa décision et l’ordonnance de la mainlevée de la mise en fourrière. Dans le second cas, l’automobile sera restituée. Il sera considéré qu’elle ait fait l’objet d’un abandon de votre part en cas de non récupération dans le délai imparti.

Quid des autres raisons

Si le motif de la mise en fourrière les problèmes de stationnement, un PV de stationnement et une amende forfaitaire vous seront donnés, en plus de la  mise en fourrière. L’amende pourra heureusement être contestée si 4 éléments ne figurent pas dans le PV. Il s’agit de la date et de la signature du PV, de l’infraction commise, les dispositions du code de la route applicable et la désignation de la personne qui s’est chargé de la verbalisation.

Dans ce cas, vous ou votre avocat pourrez requérir l’annulation du PV pour défaut de mention obligatoire. Pour obtenir gain de cause, rien ne vous empêche de prouver par tous moyens (photos, attestations de témoins, etc.) qu’il n’y a pas eu infraction.

Rien ne vous empêche également de vous adresser à un juge judiciaire en indemnisation, surtout s’il n’y a pas eu indication claire de l’interdiction de stationnement.